? ;, ".t X ona *n yvu pa,tolJ dn'6siBsua- Car, quand 1' somme du mal rein-- : j;,
* , a.m*'- z , srpularou,.e , ' S ponrte sur celle du bien, que l'ini-- ' :'
nsusleetreoud'npepple quit sub merge e monde,'celui-ci :
- r[d'un roi,, p?riclite ; les nuages sont alors sa-
de8 honte jaillir comme ta uhote, lur?s d'une ?lectricit? particuli?re
[toi qui asphyxie les peuples. Qutland
i.ais, 0 si?cle pervers 1 leur fange ?tait comme de nos jours, l'autorit? est
[moinscrue,bannie ou qu'ellen'excite plus
Mai8 eux gardaient la s6ve, et toi tu q'elle n'exasite plus
[perdue m?me le:m?pris, mais effleure seu-
-Car tu manques de foi. lement cette coupable indiff?rence,
mille fois pluis intol?rable que la
L'arche sainte des destin?es de haine, quelque chose de funeste se
la civilisation chr?tienne n'?tant pr?pare dans les secrets de l'ave-
plus en lieu s?r, en Europe, devra ni. .
traverser les oc?ans sur les vais- Cette v?rit?, vieille comme l'his-
seaux de Jacques-Cartier, pour ve toire, est proclam?e par toutes les
nir prendre possession de son nou- nations.
vel empire et se reposer ?,l'ombre L'Asie a-rejet? la foi du c?t? de
des for?ts vierges de ce continetnt. l'Occident, l'Afrique sera alors son
'C'?tait la vi?ille foi qui venait con- partage et sa canqu?te. Aussi, v
tracter une alliance nouvelle, avec compte-t-on plus de si?ges ?pisco-
la jeune libert?. Ce que l'on croit paux, ? l'?poque du grand ?veque
un malheur est un bienfait; une d'Hipp?ne,qu'il y en a aujourd'hui
,ruine compl?te, eat une sauvegar- dans tout l'univers.
-de absolue. Ce qule le ciel garde Cependant, ce pays ne saura pas
est bien gard?. conserver les douces lumi?res de
Les destin?es de la foi sont le cette envov?e divine, et, sous les
^secret de Dieu; destin?es qui sem- chauds rayons de sotn soleil ?clorera
blent varier ? ?poques d?termin?es l'abrutissantdespotisme. L'africain,
dans les annalles du temps. De comme l'Asiatique, terrass?, s'?-
u nmme que le soleil n'?claire pas prend des mensonges de la fable,
l'du,ivers entier, tout ? la fois, de Mahomet sera vailnqueur, le Crois-
m?me, la clart? divine ne p?n?tre sant bannira la croix, Satan triom-
pas, chez tous les peuples, en m?me phe 1!
temps. Quand l'aurore resplendit Chass?e de ce pavs, cette c?leste
? travers nos nuages du matin, les messag?re cherchera un refuge
eom bres du cr?ptscule se dessinent encore plus ? l'Occident: l'Europe
d?j? aux rivages de nos aintipodes. deviendra bient?t son domaine.
L'astre lumineux, qui nous donne Voyez, sous son souffle cr?ateur,
quotidiennement sa bienfaisante quelles merveilles s'y produisent,
chaleur, op?re sur lui-m?me un quelle vie nouvelle s'y r?pand. Ici
mouvement leiit requi?rant plu- tombent les idoles, l? s'?croulent
-sieurs milliers d'ann?es pour s'ac- les temples des faux dieux, les sa-
complir. La foi agit de m?me; crifices humains cessent, une ?re
,elle brille journellement aux yeux de bonheur et de libert? se l?ve
de quelque nation, mais ians sa sur un peuple nouveau. La France
marche bienfaisante, elle semble prend rang parmi les nations. Aux
suivre le mouvement de rotation baptis?s de Clovis appartiendra d?-
que la main de son auteur lui im- sormais la victoire s'ils sont fid?les
prima. ? leur sublime mission. ! Mais si le
L'Orisnt fut son premier ber- Dieu des chr?tiens est un Dieu ja-
* ceau, l'Occident est aujonrd'hui loux, c'est pardessus tout celui de
* son dernier refuge, compe si 1'A- la fid?lit?, qui r?compense ou ch?-
* m?rique ?tait destin?e ? devenir tie les nations, en raison directe deo
*' ?n tombeau, en-m?me temps que leur conduite, sous ce rapport.
"relui ? l'Jumait? toute enti?rs. Ce si? le iipie dont ?ous Yenons *-
r j I?ca-,^ , . *btn ? *.'-.... .nlr. **. ^ -.. ?'*:J
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